De capes et d’épées
Deux preux chevaliers ennemis, Orlando et Abderam, se disputent l’attention de la belle Yuhuan. Ne voulant rien savoir d’être une princesse en détresse, elle se libère elle-même et s’enfuit toute seule. Abandonnant la guerre pour partir à sa recherche, les deux héros se retrouvent à leur tour poursuivis par Malek et Bradamante dans un chassé-croisé amoureux où les alliances les plus étonnantes se forment.
Bref, tout le monde court après tout le monde pour toutes sortes de raisons. S’ensuivent mille et une péripéties, notamment avec un hippogriffe, une orque marine et une magicienne qui DÉTESTE les princesses.
Pour débuter cette aventure, je suis allé cogner à la porte d’un complice de longue date, Olivier Kemeid. Tout a commencé par une simple question que je lui ai posée : « Quelle histoire tu aimerais raconter à tes enfants? » On a parlé de rêve et de fantaisie. Et de ce qui nous émeut. Et de ce qui nous angoisse. Et de ce qui nous fait rire. Et on a discuté des possibles de la marionnette qui sont immenses. J’ai remis une page blanche entre les mains d’un auteur qui me touche. Pour toucher au cœur ses enfants, les miens, les vôtres. La route s’est doucement dessinée. Le voyage a commencé. »
– Simon Boudreault, directeur artistique
- Production
- Théâtre de l’Œil
- Texte
- Olivier Kemeid
- Mise en scène
- Simon Boudreault
- Interprétation
- Carolina Chmielewski
- Nicolas Germain-Marchand
- Simone Latour Bellavance
- Jethro Rome
- Scénographie et marionnettes
- Richard Lacroix
- Éclairages
- Gilles Perron
- Musique
- Michel F. Côté
- Photo
- Michel Pinault
La compagnie
Promouvoir et enrichir l’art de la marionnette est la raison d’être du Théâtre de l’Œil depuis sa fondation en 1973 par André Laliberté. En faisant rêver, rire et réfléchir les enfants, mais aussi grâce à l’ingéniosité de ses marionnettes et l’originalité des thèmes abordés, la compagnie s’est construit une solide réputation et fait tourner ses productions au Québec, au Canada et sur les 4 continents.
C’est aujourd’hui Simon Boudreault qui prend la barre du navire en tant que directeur artistique, succédant à André Laliberté qui a tenu ce rôle avec brillo durant les 47 premières années du Théâtre de l’Œil.
